Attraction universelle entre filaments au sein des cellules
Des simulations numériques révèlent qu’une interaction à longue portée entre objets, due aux fluctuations de champ électromagnétique dans un fluide ionique, n’est pas du tout négligeable comme on le croyait jusqu’alors quand ces objets sont filamentaires, ce qui devrait avoir des conséquences pour notre compréhension de l’auto-organisation des structures cellulaires.
Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter l'article du CNRS
Références : Universal Casimir attraction between filaments at the cell scale, Benjamin Spreng, Hélène Berthoumieux, Astrid Lambrecht, Anne-Florence Bitbol, Paulo Maia Neto et Serge Reynaud, The New Journal of Physics, publié le 8 janvier 2024. Doi : 10.1088/1367-2630/ad1846 / Archive ouverte : arxiv , hal
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Serge Reynaud
Directeur de recherche
Laboratoire Kastler Brossel (LKB)